"Les échanges ou cessions de parcelles seront facilités pour améliorer la gestion de la forêt domaniale" : c’est cette phrase, contenue dans le contrat d’objectifs et de performances pour la période 2016-2020, qui doit être signé le mois prochain entre l’État et l’ONF, qui a fait réagir les syndicats. Selon eux, cela signifie que l’État pourra bientôt vendre les forêts qui lui appartiennent, soit 30% des bois du pays. Dans la Drôme, sur les 319 000 hectares de forêt, 24% sont publics. En Ardèche, il n’y a plus que 10% des bois appartenant à l’État sur les 310 000 hectares du département.
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